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Diaporama interdit aux âmes sensibles et à tous ceux dont les véhicules ne sont pas assurés tous risques. Parking accès Guy Moquet, l’enfer silencieux.
Insécurité permanente, absence de maintenance et déni d’entretien, lieu d’effractions de vandalisme quotidien, sans extincteur, au gré de tout feu, odeur nauséabonde. Squat, vol, poubelle, recel, débarras… Le garage PVC / Le Parc vous ouvre ses portes : diaporama, à votre droite, cliquez sur la photo de l’extincteur !

Constat à 19H… le sol du parking et certains véhicules sont maculés de flux d’extincteur… (à 14h ils étaient indemnes)
Quelque chose que l’on connaît tous depuis plusieurs années, en période de vacances. Pourtant peu d’extincteurs sont encore efficients.

Avec ces traces au sol :
Facile de reconnaître les allées et venues des véhicules avec la poudre bleue,
Facile de capter des marques de pas.
Le parking est régulièrement le lieu de vandalismes divers et coûteux pour les locataires :
Vol de rétroviseur, de pare choc, de capot, effraction sur vitre, vol de roues, pneus crevés… et désossage complet, l’inquiétude légitime règne.

Merci à Monsieur Balo notre agent technique de proximité de faire nettoyer les lieux par K2 propreté (d’ailleurs il y a tant à faire au sous-sol).

Merci à la Semise de mener son enquête, l’amicale travaille au bien être de tous, mais hélas il faut avant tout pourchasser les fauteurs de troubles qui ne sont pas toujours ceux que l’on croit.

Un courrier suivra.

Un des locataires du 157 nous avertit ce jour que l’ascenseur est en panne, depuis le 12 juillet, et ne sera pas réparé avant le 14 août…

Que dire de cette assistante maternelle qui ne pourra pas remonter ses poussettes ?
Que dire de ces personnes âgées qui peinent à rejoindre leur appartement ?
Que dire de cette femme sujette à des problèmes cardiaques qui fait « contre fortune bon cœur » ?
Que dire de cette famille dont les enfants souffrent d’asthme ?

En cas de canicule que se passerait-il ?
En cas de nécessité d’hospitalisation d’urgence par le SAMU que se passerait-il ?
Et depuis quand les paliers de chaque étage n’ont-ils pas pu être nettoyés ?

L’amicale va tenter de résoudre le problème et nous en avertissons dès ce jour notre bailleur.

Les problèmes d’ascenseur sont récurrents chaque année… Otis nous répond à chaque fois qu’ils ne disposent pas des pièces nécessaires à l’entretien.

Nous n’habitons pas des R+1…

Place Jean Martin, 29 juin vers 23h30.

Après avoir subtilisé des chaises au café du coin, une "bande" s'installe sur la place pour "boire un verre". Résultat : écoutez !

Ceci n'est qu'un court extrait.
Durée du tapage: 1 heure.

Tous les bébés de la résidence sont réveillés, les lumières s'allument... On attend calmement...

Plus tard dans la nuit (3h) sur cette petite place piétonne, ça recommence, cette fois par un ballet de scooters débridés et quelques hurlements.

Certains diront "ce ne sont que quelques jeunes discutant sur une place publique", mais ce n'est pas notre opinion.

La porte d’accès à notre parking (71 Guy Moquet, accès droite) a été vandalisée dans la nuit de dimanche 14 à lundi 15 juin 2009.

• Dans la matinée, la société Otis (Portis) a été alertée par un locataire.
• A 19h le PC sécurité a été informé (aucun agent n’était sur la résidence aujourd’hui ?)
• A 19h30 sur l’appel d’une locataire, nous avons appelé la police pour leur indiquer que des individus avaient investi le parking, pour « y faire la fête ». Notre voisine de résidence était ébranlée « déjà l’incendie… mais là j’ai eu très peur, j’ai craint pour ma vie».

Encore une fois, les locataires solidaires ont suppléé l’absence de tout agent de proximité sur les lieux.

Nous demandons à la Semise d’assurer la sécurité du parking ! Et d’assurer une présence quotidienne sur la résidence. Nous ne pouvons continuer à vivre dans une telle intranquillité.

71 € de location de parking, sinistré, souillé, mal nettoyé, ce n’est une petite somme pour aucun d’entre-nous ! Nous acceptons le délai pour les réparations nécessitées par le sinistre d’incendie pour un montant estimé à 200.000 € et ce n’est pas chose facile. Le montant global des loyers perçus sur notre résidence s’élevant à 800.000 € annuels…

Nous ne pourrons accepter que de nouvelles dégradations interviennent sur nos véhicules.

Tout locataire peut avertir sa compagnie d’assurance automobile afin de signaler les manquements du bailleur sur la chose louée.

On croit rêver ! cauchemarder ? Mais vous qui êtes en charge de la gestion locative de la Semise que faites-vous ? Quel est ce jeu (je?)

A quoi sert de repeindre le hall du 71 sans fermer magnétiquement la porte ! Les « bandes » vont continuer leur squat et trop contents de resalir. Votre intervention n’est qu’un doux verni histoire d’adoucir la cruelle réalité de nos photos.

Pourquoi cette information en catimini, non agréée Semise, affichée sauvagement à l’adhésif, qui vraiment pourrait porter à sourire, si nous ne nous sentions pas sinistrés.

Alors non ! Non à ces caches misères, oui à un travail de fond.

Nous vous le redisons, prenez-nous en considération. Sans la fermeture du hall 71, toute intervention sera vaine.

Vous pouvez faire du « joli » à votre guise, mais telle n’est pas la demande des locataires. Nous demandons la tranquillité et la jouissance des lieux « en bon père de famille ». Ce n’est pas un pot de peinture qui garantira notre tranquillité, la vôtre peut-être. Cessez de nous considérer comme des numéros ! Nous sommes comme vous des êtres humains. Nous aspirons aux mêmes choses que vous qui habitez ailleurs... Nous nous acquittons de nos devoirs de locataires par le paiement des loyers et charges qui sont conséquents ; à vous de vous acquitter de votre devoir de bailleur.

Cette pratique tient de la mesquinerie. Dans un mois vous nous direz que cela n’a servi à rien et certes. Chaque nuit les « bandes » élisent domicile dans ce hall, merci de leur offrir une niche toute propre ! Fermez cet accès pour le bien légitime des locataires.

Et tel n’est pas votre intérêt. Les frais occasionnés par cette « mise en peinture » seront nuls et non avenus sans fermeture du hall. Tout juste de l’argent gaspillé, et le travail d’un ouvrier qui va se donner du mal pour rien.

A quand un partenariat réfléchi ? A quand une communication cohérente, nous sommes en attente.

Ce 2 juin 2009, en fin de matinée, un groupe de la Semise mené par son président Michel Leprêtre a « visité » notre résidence.

Merci aux locataires qui ont relayé l’information et bien compris la nécessité d’être solidaires, ensemble.

Nous déplorons de ne pas avoir été invités à cette visite, car qui mieux que nous peut guider la Semise au fil de la détérioration de notre vie quotidienne ? Qui mieux que l’habitant peut se faire l’écho de la qualité et des manquements de la gestion des lieux ? Etrange conception.

Le mot « partenariat » n’appartient pas au dictionnaire de notre bailleur… Et pourtant… Nous allons continuer à manifester notre désir de travailler ensemble. Nous sommes les témoins et les rapporteurs de la sauvegarde de ce patrimoine. Nous ne sommes pas des victimes, mais les acteurs de notre mieux vivre. Mais ce combat, nous aimerions le conduire avec tous les acteurs publics, ensemble et non les uns contre les autres.

Que résultera-t-il de cette visite ? Que « du mieux » espérons-le. Une prise en considération sérieuse des problèmes et non un déni. Une mise à l’ouvrage de notre agent technique de proximité et non un survol lacunaire… Simplement une reconnaissance que les 1022, 2030, 3018, 4013, 5021…  ne sont pas des numéros, des tatouages informels, mais des personnes responsables et oeuvrant au bien être de la résidence pour la tranquillité de leur famille et celle de tous.

Notre résidence est conventionnée, ce qui veut dire que la Semise a reçu des aides de l’Etat pour financer sa construction. En échange tout changement de situation économique du locataire peut entrainer la survenue d’un surloyer.

A noter que ce surloyer ne va pas dans les caisses du bailleur, mais dans celles de l’Etat qui en fait l’usage dont il souhaite. Pas question d’imaginer alors que cette solidarité soit directe et au bénéfice de quiconque en est demandeur parmi ceux qui en ont le plus besoin.

Nombreuses sont les villes et les bailleurs qui trainent à appliquer cette loi qui impose aux foyers aux revenus moyens de quitter le parc social. L’Oph de Vitry fait partie de ceux-là: il n’applique pas le surloyer tant qu’il le peut.

La Semise a choisi d’appliquer la loi à la lettre, mais quelle lettre ?

Depuis deux mois nous nous battons (toutes résidences Semise confondues sur la ville) pour obtenir une réponse, tant auprès du président de la Semise, qui préside à la gestion financière de la Semise, que de la Semise elle-même qui feint ou omet de prendre en compte notre demande.

Nous sommes dans l’attente de connaître le mode de calcul appliqué par notre bailleur et de la grille de conventionnement suivie… Sans réponse à ce jour.

Si vous voyez la rubrique « SLS » sur vos avis d’échéance, faites-vous connaître. Nous essaierons ensemble d’en connaître la légitimité.